« Le confinement nous amène à vivre dans une promiscuité qui peut être embarrassante. Gérer les devoirs, le travail, l’entretien de la maison, les courses, les câlins, les histoires, les écrans, les relations avec les amis, la famille à distance, les ados qui tournent en rond… (la liste est longue) dans un espace restreint. Cette situation génère des angoisses aussi bien pour les parents que pour les enfants. L’anxiété mal digérée entraîne de la violence : les violences éducatives ordinaires, les violences conjugales, les violences entre frères et sœurs…
Parents, n’attendez pas que le niveau de violence soit sans retour. Prenez soin de vous. Accordez-vous du temps pour échanger, parler de vos trop pleins émotionnels, de vos inquiétudes… demandez conseil.
Des professionnels de l’écoute sont à votre disposition. Choisissez votre intervenant et contactez-le gratuitement. Ils se feront une joie de vous accueillir et de vous écouter. »